Notre recherche de bien-être et santé s’effectue aujourd’hui sous une forme très personnalisée, avec des outils d’une précision algorithmique. Comment utiliser cette quantité d’informations séquencées par une intelligence artificielle ?
Outils connectés : un extraordinaire big data
Thermomètre, bracelet, montre… Chaque objet connecté sert à collecter des données sur le corps. Leurs particularités ? Une rigoureuse précision et un stock énorme d’informations biologiques, une sorte de Big Data où l’on peut d’un seul clic, piocher une valeur quantifiée. Qu’il soit médical ou paramédical (tensiomètre, balance…) voire sportif, l’outil connecté nous donne toute sorte de mesures sur la santé et la performance. Ou même sur le mieux manger, car il existe désormais de nombreuses applications en lien avec la nutrition.
Que devient la main humaine ?
Si elle reste pour l’instant un intégrateur de données, on ne fera pas disparaître pour autant la valeur ajoutée humaine. Celle qui consiste à analyser, diagnostiquer et trancher pour une décision finale, reste en effet indispensable. Ainsi une montre connectée servira d’interface entre votre entraîneur et vous, pour une analyse du cardiofréquencemètre intégré par exemple. Une balance connectée permettra de suivre la fluctuation de votre poids et vous sensibilisera jusqu’à consulter, si besoin, un spécialiste de la nutrition. Enfin, une fièvre relevée par un thermomètre connecté déclenchera une visite chez le médecin.
Toute compte fait, les informations récoltées sont une aide au maintien de la santé et du bien-être. Ce qu’il faut éviter, c’est de se laisser envahir par une marée de données au point d’en perdre l’essentiel : la personne humaine.
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